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2) Télécharger votre test gratuit puis, regardez les 3 courtes vidéos...

3) Surtout, regardez ces 3 courtes vidéos après avoir fait votre test ! Découvrez comment les blessures affectent votre vie à travers 5 exemples concrets.

Vous recevez ici en cadeau supplémentaire, la mini-formation qu'Ana Sandrea réserve aux gens de sa liste.

Aidez-moi en répondant à deux questions :

  1. Vous êtes vous reconnu dans une situation décrite dans la vidéo ?
  2. Comment vos blessures vous freinent au quotidien ?

86 réponses à “blessures du passé page de remerciement webinaire”

  1. Perrier dit :

    Merci Ana, je suis pas sure de me reconnaître avec certitude mais j’attends la suite.

  2. Pascal dit :

    Bonjour Ana et tous. je me retrouve dans tous ces témoignages aussi je rajoute simplement ceci: l’union fais la force; mais comment faire la somme de nos capacités positives pour les autres pour qu’elles le soient pour nous même?

  3. Corinne dit :

    3 blessures me parlent particulièrement : rejet, abandon et injustice.
    Cela me bloque particulièrement dans ma vie affective et ma vie relationnelle, alors que suis moi même thérapeute.
    Lorsque j’oeuvre au service de la Vie, je sens et je connecte cette vastitude où tout fait un.
    Mais dès que je reviens à ma vie, je suis reprise par toutes ces blessures, et n’arrive pas à retrouver ce UN.
    Je suis un peu découragée, ayant fait déjà tellement de choses…

  4. Emeline dit :

    Bonsoir,

    Eh bien, je ne sais pas quoi répondre, plusieurs blessures me parlent comme l’abandon, le rejet, l’humiliation, mais à des degrés différents et puis peut être la trahison aussi. Oui j’ai conscience que ces blessures influencent ma vie. Elles m’empêchent de m’épanouir pleinement sûrement. Je suis dans une période particulière, en séparation avec le papa de ma fille de 3 ans. A la fois je le vis bien et à la fois c’est comme un mur infranchissable qui nous sépare maintenant, je me sens blessée, j’ai totalement perdu confiance en lui et je pense que je culpabilise aussi un peu vis à vis de ma fille. Je n’ai plus beaucoup goût à la vie parfois. Ce qui me tient c’est mon projet professionnel et être avec ma fille mais je n’ai comme plus d’énergie parfois. J’alterne entre motivation et limite de la dépression. Je crois en effet que je peux me guérir de mes blessures, j’ai entamé un travail sur moi depuis mes 19 ans, j’ai conscience que nous sommes les créateurs de notre vie. Pourtant quelque chose persiste dont je n’arrive pas à me défaire.

  5. Johanne dit :

    Ma vie serait beaucoup plus agréable que maintenant, si je pouvais faire confiance aux autres, mais je reste toujours sur mes gardes, face à mes relations inter-personnelles, on me ment très souvent et je m’en aperçois presque toujours, c’est décevant et frustrant.

  6. Johanne dit :

    L’injustice en premier, et trahison en second.

  7. Michele dit :

    Je pense qu’il est possible de guérir, en tout cas, j’y crois.

  8. nadia dit :

    bonjour Ana,

    depuis l’enfance, je souffre des blessures de rejet et d’injustice. Je pense ne pas avoir été désirée par mon père et porte la responsabilité de l’engagement de mes parents dans un mariage qui les rend malheureux tous les deux. J’ai l’impression que je ne mérite pas d’être heureuse. En tant qu’ainée, je me suis évertuée à être parfaite au point d’être coupée de mes désirs et besoins. En couple, je vis une dépendance affective dont je m’extirpe petit à petit grâce à un groupe de parole. J’ ai vécu l’humiliation avec mon compagnon car il tente de se sortir du problème de l’alcoolisme. Et je souffre de surpoids.

  9. gilberte dit :

    bonjour Anna,
    ah les blessures! Un sujet qui me questionne actuellement. Ma blessure que je n’arrive pas à colmater, je ne suis pas la seule à lire les commentaires, c’est le divorce, la perte de mon mari que j’adore(ais) de mes enfants. MAIS c’est une occasion extraordinaire de vivre avec moi et de développer la personnalité vraie que j’ai en moi. Après 10 ans, je peux dire que c’est une chance et que c’est juste pour moi. J’accueille cette blessure, je vis avec, beaucoup de choses ont changé, ma vie est différente. si je pense parfois au passé, j’ai le spleen, si je suis dans l’instant présent j’ai la joie. c’est vrai qu’il est impossible pour l’instant de vivre en couple, je suis fermée.Ce n’est pas une blessure, c’est un point de suspension. Je m’aime, j’aime ma vie, j’aime les êtres humains, alors que demander de mieux?Merci pour vos videos et votre fraicheur

  10. Claudibe dit :

    J’hésite entre le rejet et la trahison…
    Je dirais que la méfiance est la conséquence de ces deux situations!

  11. Claudibe dit :

    Je crois qu’il est possible de se reconnaître dans plusieurs exemples… Par contre, j’ai confiance que ces schémas de souffrance peuvent être règlés. C’est le travail que j’ai débuté par le passé et pour lequel je mets les bouchées doubles actuellement! Ce qui est le plus désolant, c’est de réaliser qu’à plusieurs occasions je retombe dans le piège et mes blessures sont ravivées! Mais il y aura une fin à ces souffrances… J’y travaille!

  12. Nadine dit :

    la blessure d’abandon est celle qui me fait le plus souffrir. Que sera ma vie sans elle? Joyeuse, pleine et radieuse

  13. Nadine dit :

    J’ai reconnu la blessure d’abandon et de rejet. Dans le quotidien, toujours l’impression que je n’ai pas ma place ou que l’on complote contre moi. Aussi grande difficulté d’entrer dans une relation amoureuse

  14. Pierre dit :

    Un jour, je me suis pris pour Dieu. Et, ça a marché. Maintenant, tout le monde m’en veut. Comment me faire pardonner, vu que je ne puis pas me pardonner moi-même.

  15. Jerem dit :

    1)Oui
    2)ça me freine dans beaucoup de domaines en général en me plongeant dans l’inactivité, inefficacité et la confusion

  16. MURIEL dit :

    J’aimerais bien savoir de quelle blessure vient le manque d’abondance financière???

  17. MURIEL dit :

    Je pense qu’il est possible de guérir, c’est en cours. Certaines situations ne sont pas toujours évidentes à comprendre. Est ce de la résistance de désirer très fort quelque chose, est ce du contrôle??? j’ai quelque fois du mal à faire le tri parmi les épreuves plus ou moins difficiles que je rencontre.

  18. MURIEL dit :

    Bonsoir Ana, j’ai du mal à trouver ma place, je n’avais pas le droit de donner mon avis quand j’étais enfant, on décidait pour moi et j’obéissais. j’ai beaucoup travaillé et je continue avec une thérapeute et la PBAP.
    Même si j’avance à mon rythme, le principal est d’avancer et de guérir.

  19. MURIEL dit :

    Difficile de choisir
    – place
    – rejet
    – injustice

  20. MURIEL dit :

    Je me reconnais dans différentes blessures: ma place dans le monde et le manque de place car je vis dans un petit appartement. Professionnellement je suis freinée depuis longtemps….

  21. abel dit :

    1 – je pense que oui
    2 – effectivement, une voix me dire que c’est impossible.

  22. Flicker dit :

    Bonsoir Ana. Je souffre depuis + de 5 ans au niveau des chevilles et poignets (comme un garrot très serré 24h/24h) et avec des crises de douleurs dans tout le corps. Sans résultat, je « travaille » actuellement avec le livre du Pr John Sarno sur les STM qui sont induits par les émotions refoulées dans notre inconscient. A mardi avec plaisir ! Bien à vous. Valérie

  23. abel dit :

    1 – manque d’estime de soi
    2 – je peux réaliser touts mes projets

  24. abel dit :

    1 – j’ai vécu le cas d’humiliation
    2 – manque de confiance

  25. Nathalie dit :

    Ana,
    Merci de ces questions essentielles.
    Bien sûr qu’il est possible de guérir !
    En chaque humain règne une blessure, après à chacun son degré, son histoire et sa résilience.
    Je crois à la séance de rattrapage quand on a le sens/le temps/ le choix/ la chance de se poser et de prendre conscience qu’il y a ce cheminement personnel à faire.
    Des années de psy, des discussions à bâtons rompus, des reparamétrages de l’inconscient par une kinésio, diverses pistes dans la lecture m’ont en partie guérie mais je cherche toujours le petit pois sous le matelas, très dur et très gênant, qui m’invalide encore dans l’essentiel.

  26. Estelle dit :

    Sans hésiter, l’abandon: ce trou béant que rien ne peut combler. Cette peur incommensurable que la relation amoureuse s’arrête… du coup, je reprends le contrôle en détruisant très rapidement les relations sentimentales et vis seule depuis des années. Quelle connerie, je sais bien…mais je réalise généralement après avoir agit!

  27. Nathalie dit :

    Après la 2ème vidéo, je vois bien que la souffrance d’abandon prédomine.
    Donc une vie sans souffrance serait un juste équilibre dans les relations affectives en cessant la quête de reconnaissance ou les situations de dépendance.

  28. Frédéric dit :

    J’attends la conférence avec impatience et me sens… très concerné 😉
    Merci Anna…et merci pour ton accent absolument charmant:-)

  29. Marie-Claude dit :

    Oui je pense qu’on peut guérir, il y a plusieurs exemples qui le prouvent mais est ce que j ‘en suis capable ? est ce vrai pour moi aussi ? car après pas mal d ‘années de développement personnel , j ‘ai l ‘impression de ne pas avancer. Résistance ?

  30. Marie-Claude dit :

    ma plus grande souffrance emotionnelle est de ne pas me sentir aimée, écoutée, entendue , crue par la personne que j ‘aime, et aussi lorsque cette personne me ment et annule nos projets sans explication; je me sens alors sans valeur, blessée.
    J ‘aime tant l ‘harmonie, la douceur dans les relations et dans la vie en général

  31. Marie-Claude dit :

    Je pensais n ‘avoir que les blessures d ‘abandon et de rejet mais depuis plusieurs mois, je vis une relation amoureuse qui me fait souffrir car elle révèle de façon aigüe les 5 blessures dont vous venez de parler.

  32. adeline lange dit :

    bonjour,

    j’ai toujours eu besoin de faire beaucoup de choses pour les autres parce que j’ai très souvent été en demande inconsciente de reconnaissance, je sais faire beaucoup de chose je demarre très facilement un nouveau travail en tant qu’indépendant mais très vite je laisse tomber je ne vais pas jusqu’au bout,
    Adeline

    • Nathalie dit :

      Bonsoir Anna,
      Il me semble reconnaître un peu de toutes les blessures sauf l’humiliation. Peut-être en tête de podium le rejet et l’injustice.
      Parfois, un sentiment de solitude, d’incompréhension dans mes relations.
      J’ai souvent l’impression d’être en décalage, à la limite de hyper-sensibilité même si je trouve que cela est un de mes atouts.
      Mais, cela crée parfois chez moi de la réactivité, des problèmes de lâcher-prise et de confiance dans les autres et surtout moi-même. Du coup, il m’arrive de culpabiliser sur toutes les conséquences de mes choix et d’avoir de moins en moins envie de me lancer..

  33. Georges dit :

    Bonjour,
    Oui, je pense que c’est possible de guérir, il y a pas mal d’exemples!
    Et oui aussi, je crois qu’il y a une résistance intérieure, une peur du changement, de la réussite en moi.

  34. Georges dit :

    Bonjour,
    C’est donc l’injustice, le manque de reconnaissance. Sans ce « handicap » je pourrais avoir des relations plus ouvertes, plus faciles, plus généreuses avec les autres.

  35. Georges dit :

    Bonjour,
    Je me reconnais assez dans le dernier cas, celui de l’injustice, ayant eu l’impression de ne pas être aimé pour ce que j’étais mais pour ce que j’aurais dû être.
    Du coup je suis en recherche de reconnaissance de la part des autres, j’ai du mal à me situer dans mes relations avec les autres et j’ai du mal à ne pas être dans le jugement de moi-même ou des autres.

  36. audrey dit :

    oui bien sure je pense qu’il est possible de guérir . Si quelque chose en moi résiste à cette guérison c’est cette petite voix qui me dis « tu n’y arrivera pas car tu t’y prend mal ou tu ne sais pas faire »

  37. audrey dit :

    ma plus grande souffrance est ce manque de confiance en moi. Elle me fige m’empêche d’aller au bout des choses. Une fois ce problème dépassé je pourrais aller de l’avant et construire ma vie comme je la désire

  38. Danya dit :

    j’ai 64 ans je ne me suis pas reconnu dans les situations de la vidéo, mais j’ai toujours eu un problème pour gagner ma vie et ma retraite dans un an ne me permettra pas de vivre correctement. j’aimerais sortir de cette loyauté à la famille concernant l’argent. merci pour votre intervention, je vous suis dans les interviews de différents personnes particulièrement intéressantes.

    • gilberte dit :

      si je peux me permettre de vous répondre, j’ai 62 ans, je suis retraitée et si je devais me contenter de ma retraite, ce serait galère. alors je bosse. j’aime ce que je fais ( auxiliaire de vie) j’apporte les forces qui me restent contre rémunération. de plus en plus de retraités bossent. je crois qu’il faut changer ses croyances sur la retraite: repos bien mérité!!! Pour moi, c’est petit revenu de base assuré pour faire mieux. Bon courage

  39. audrey dit :

    bonjour Anna,

    j ai reconnu les blessure de rejet d’abandon et d’ injustice . Dans ma vie quotidienne cela se traduit par un besoin mais une peur de l’engagement affectif un manque de confiance en moi et une difficulté à passer à l’action . J’ai un projet professionnel qui me tiens à coeur mais je suis figée à cause de ce manque de confiance.

  40. brigitte dit :

    ça fait longtemps que je travaille sur les 5 blessures(et ds le questionnaire ,j’ai mis de +en+)

    et là,pour la 1ere fois je comprends un peu mieux la blessure de trahison, (que je ne vois pas du tout chez moi

  41. Dominique dit :

    1) guérir c’est accueillir cette part blessée c’est l’identifier au moment où la souffrance apparait, en même temps c’est toujours là car c’est constitutif, cela prend moins d’importance lorsque j’y met de la conscience, que c’est l’enfant qui souffre et l’adulte peut le prendre dans ces bras…
    Pas toujours évident, ce qui m’impressionne c’est le système de répétition dans lequel je me retrouve et en même temps cette solitude me pèse et pourtant je retrouve un espace une liberté même si je suis dans un flou professionnel personnel en situation d’insécurité financière et en même temps je chante je fais du sport, du théâtre je suis sortie de mon canapé ma grande peur c’est de ne jamais pouvoir être dans une autre forme de relation avec un homme

  42. Gisèle dit :

    je ne sais pas dans quelle émotion le placer, mais moi, j’ai été beaucoup rabaisser dans le passé . actuellement , je travaille sur mon intuition , et la petite voix me disait qu’il fallait que je travaille le pardon, car cela me bloquait pour avancer.

  43. Sylvie dit :

    Oui je pense qu’il est possible de guérir de ses blessures. Seulement, une partie de moi résiste, me freine. J’ai l’impression d’être jugée en permanence. J’ai reçu une éducation ou il fallait être comme les autres voulaient qu’on soit et pas comme on voulait être soi-même. Le « qu’en diras-ton » était permanent, le jugement, le paraître. Difficile d’être soi dans ces conditions. C’est encore aujourd’hui à plus de 50 ans toujours un énorme frein.

  44. Sylvie dit :

    Une de mes plus grandes souffrances émotionnelles est le manque de confiance en moi. Je ne vais jamais au bout des choses. Je suis frustrée et je culpabilise de ne pas avancer. Je m’en veux tout le temps. Jamais de joie, de plaisir, je ne profite de rien.
    Ma vie serait tellement plus heureuse sans ces souffrances et j’aurais l’impression de vivre ma vie et non de passer à côté.

  45. Pascale dit :

    oui il est possible de guérir mais il doit y avoir des rechutes après tant d’années avec elles et ces blessures doivent s’accrocher, ce ne doit pas être facile

  46. Pascale dit :

    l’injustice et la trahison je crois mais sans justification comme dans les exemples ….
    Un peu l’abandon
    peut on avoir plusieurs blessures mais pas très prononcées ?
    ma vie sera plus simple et plus sereine je pense

  47. Sylvie dit :

    Je me suis reconnue dans plusieurs
    situations.Le rejet, pas toujours bien dans ce que je fais ou avec qui je suis, L’humiliation ?, j’ai toujours eu des problèmes de poids.L’injustice, il y avait beaucoup de principes dans mon éducation,j’ai toujours beaucoup de difficultés à me détendre, à avoir du plaisir, je travaille beaucoup pour obtenir la perfection que je n’atteinds jamais et je suis toujours frustrée de ne pas réussir.
    Au quotidien, c’est un manque de confiance en soi de’estime de soi et pas de joies ne de plaisir.

  48. Jocelyne Patry Moro dit :

    Oui, c’est fascinant de constater que la blessure de rejet peut nous suivre toute la vie, si on ne s’en libère pas. Il y a quelques années, bien que je vivais chez moi dans ma maison, avec mon conjoint, qui vient d’une très grande famille, j’ai encore vécu cette expérience …… Avec le temps,je me suis sentie envahie par la présence des siens qui venaient nous rendre visite souvent, pour plusieurs jours, si bien qu’on occupait ma place, mon bureau, mon espace . J’avais de la difficulté à me retrouver et ….. je ne me sentais plus chez moi, dans ma propre demeure. S’en est suivi une séparation…….et un cancer

  49. laure dit :

    Oui je pense qu’il est possible de guérir ses blessures.

    Je souhaite guérir et je ne sais pas s’il y a quelque chose en moi qui résiste pour cette guérison et de quoi il s’agit exactement si c’est le cas.

  50. laure dit :

    Ma plus grande souffrance est d’avoir vu et de voir ma mère sur-vivre au lieu de vivre, malheureuse, soupçonneuse et médisante sur tout dans la vie. Ca me fait souffrir de la voir se trainer comme un fantome, comme quelqu un d’aveugle sur l’amour et le positif.

  51. Frederique dit :

    Bonsoir Ana,

    Je pense que ma blessure est la trahison mais ce n’est pas facile de faire un lien avec tous mes handicaps. J’ai beaucoup de peur. Je suis assez méfiante. Je prends les choses de facon personnelle.
    Frederique

  52. laure dit :

    sentiment de pas avoir été désirée – de ne pas oser prendre ma place/ de ne pas oser affirmer, exprimer et vivre qui je suis.

  53. Véronique dit :

    Bonsoir Ana, oui, je pense qu’il est possible de guérir de ses blessures, mais aujourd’hui, je ne crois pas que ce soit possible pour toutes tant elles sont ancrées profondément et depuis des générations. Je veux bien croire qu’une partie de moi résiste, j’ai tellement grandi dans l’abandon, l’irrespect et la peur que j’ai toujours dit que tout cela coulait dans mes veines depuis ma naissance, que cela faisait complètement partie de moi. J’ai peut être simplement peur de me débarrasser pleinement de mes douleurs, inconsciemment en m’y accrochant. Du coup, je ne suis pas LIBRE et les femmes de ma lignée n’avaient pas le droit à la liberté, simplement à la soumission… Comment quitter tout cela pour devenir sereine et enfin MOI ?
    Merci

  54. Annabel Guiard dit :

    Rejet et humiliation. Oui, manque de confiance, autoestime, sensation de ne pas être aimé, problèmes d’ argent, peurs, envie de mourir parfois (alors que dans le fond je ne veux pas mourir), tristesse, rage. Je suis moi même thérapeute mais je ne me sens pas complêtement libérée de mes blessures.

  55. Véronique dit :

    Bonsoir Ana, je crois que ma plus grosse souffrance émotionnelle est l’ABANDON.
    Sans cela, je serai moins dans l’attente douloureuse, je serai plus concentrée sur mes propres besoins, mes envies, mes plaisirs, je me respecterai plus, je serai moins triste, j’aurai plus d’énergie, ma Vie serait plus douce, juste et vraie.
    Merci à vous.

  56. Véronique dit :

    Bonsoir Ana et merci à vous pour ce que vous faites. Je me suis retrouvée dans votre vidéo avec le cumul de situations. Aujourd’hui, après des années de travail sur moi, je sais que j’ai encore des douleurs profondes. Les conséquences d’un divorce dramatique me font encore penser à l’abandon, le rejet, l’irrespect, la peur, l’injustice. Ceci fait de moi quelqu’un qui n’avance pas avec son plein potentiel, je suis plutôt solitaire à vouloir me libérer de mes croyances limitantes et à chasser les gens toxiques de ma vie. Il y a de belles personnes comme vous qui tendent la main à ceux qui en ont besoin. MERCI. Belle continuation à vous.

  57. Paule dit :

    oui je pense qu’il est possible de guérir.
    je ne sais pas si c’est un résistance à la guérison ou une peur d’aller vers l’inconnu ?

  58. maria dit :

    Bonjour je me suis reconnu , je suis la cinqueme anfant de 8 ma mere ma donne a d’autres personne pour m’enlever a l’age de 5 ans , blessures? Je n’ai trops pour les compter. Cordialment Maria

  59. nathalie dit :

    Ma plus grande souffrance émotionnelle est dû à plusieurs trahisons amoureuse de mon premier amour .Cette relation a duré 7 ans ,je l’ai quitté, puis j’ai rencontré mon mari.
    23 ans après, j’éprouve toujours de la colère et un manque de confiance en moi et les autres.

  60. Paule dit :

    ma plus grande souffrance et je crois de ne pas m’accepter.
    Ma vie serai légère et plus tranquille.

  61. Paule dit :

    Je me suis reconnu dans la blessure de rejet.
    Je ne me sens pas à l’aise dans mon travail. Je me retrouve en situation de victime de harcèlement à plusieurs reprises.
    la deuxième blessure que j’ai reconnu c’est la blessure d’humiliation (je crois). Je le ressens comme cela. Je suis particulièrement sensible aux jugement des autres et je ne me sens pas à ma place sauf quand je connais bien les gens.

  62. Jocelyne dit :

    oui c’est possible de guérir. Et non je ne résiste pas à l’envie de guérir, elle est plus que tout importante à ce jour pour pouvoir avancer dans la vie

  63. Jocelyne dit :

    ma plus grande souffrance est de ne pas trouver ma place et de me sentir rejetée. Sans cette souffrance j’aurai de meilleures relations avec les autres et je retrouverai de la joie

  64. Jocelyne dit :

    Oui je me suis reconnue. Au quotidien problèmes relationnels, gros manques affectifs, sentiment de pas être à ma place, d’être bien nul part…

  65. Chalas dit :

    C’est possible de guérir et de s’en sortir. Je n’ai pas l’impression d’être sous l’emprise aveugle des blessures infantiles.
    « connais toi toi-même » disait Aristote

  66. je crois en la guérison , la seule résistance c’est mon mental ou ego

  67. Chalas dit :

    Ma souffrance somato- émotionnelle se traduit par des douleurs nerveuses (cruralgie côté droit ) . Ca ne m’empêche pas de marcher. j’évite seulement de me lancer dans des grandes excursions

  68. Béosière dit :

    si estoy convencida que es posible curar (1)
    tal vez sea inseguridad (2)

  69. CANDEL isabelle dit :

    Ma plus grande souffrance est l’humiliation. Me respecter me permettrait de plus m’aimer .

  70. CANDEL isabelle dit :

    Je me suis reconnu dans ces 5 blessures.Divorcée depuis 3 ans , j’ai du mal à me reconstruire.

  71. Béosière dit :

    el abandono(1)

    seria mas afirmada ! (2)

  72. Béosière dit :

    Si reconoci las cinco

  73. Nancy dit :

    Oui ça pour m’être reconnu oui !Ca m’handicape à tout les niveaux travail, relationnel et et amour, l’aspect financier, réussite professionnelle…

  74. Chalas dit :

    Reconnaissance avec les 5 blessures. vécues réellement dans le passé. Mais cela ne me pose plus de questions, pas de problème, ni handicape, comme si j’étais « cool » depuis ma naissance.

  75. tanezie dit :

    1) je suis certaine qu’il est possible de guerir travaillant en développement personnel dans plusieurs approches thérapeutiques cela reste long et au qutidien

    2) ce développement personnel a été interrompu depuis 1an 1/2,maintenant suite à l’abandon de mon mari , relation merveilleuse pendant 17 ans dont j’ai un grand mal à faire le deuil

  76. Bruno dit :

    Bonsoir Ana.

    Je me suis en effet reconnu dans la blessure d’abandon, la trahison et aussi l’injustice à des degrés variés souvent violents et démesurés par rapport à la situation. Le domaine dans lequel ces blessures se réveillent depuis très longtemps, c’est dans la relation de couple. Notamment la dernière qui a duré 5 ans avec 2 séparations et 3 reprises et là nous nous séparons de nouveaux. Elle en peut plus et je peux la comprendre. Cette personne est très douce et très forte intérieurement. Malgré tout l’amour qu’elle me donne et la confiance qu’elle a en moi, je suis toujours insatisfait et quelque chose en moi rumine sans cesse, se méfie et sabote chaque moment ou on pourrait être dans la paix et la douceur. Beaucoup de reproche aussi parce qu’elle ne souhaite pas prendre un travail depuis 5 ans. Je me mets dans des rages incroyables voir Haine et rejet en me rendant compte toujours trop tard que j’aimerais en fait pouvoir être comme elle en confiance dans la vie, calme, serein et que j’ai le droit de prendre du temps pour savoir ce que je voudrais vraiment faire. Bref j’aurais beaucoup à dire. Peut être que lors du webinar nous aborderons ces sujets en tout cas merci pour ce que vous faites. Bruno

  77. tanezie dit :

    1° que l’autre ne me respecte pas mais je pense que je n’exprime pas vraiment mes besoins

    2° la non reconnaissance de mon travail et de tous les efforts que je fais

  78. tanezie dit :

    humiliation
    injustice

    quotidien le handicap je cherche constamment la perfection peut être un peu moins depuis que je travaille en développement personnel
    je commence à apprendre à me respecter mais très difficile pour moi encore

  79. Adeline dit :

    Je me suis retrouver dans plusieurs blessures.
    Je dirais que j’ai peur de faire les mauvais choix du coup je prends pas de décision, j’ai aussi un problème de surpoids comme une barrière de protection, du coups je manque de confiance en moi et j’ai de plus en plus tendance à m’isoler.

  80. HUGUEL nadine dit :

    heureusement qu’il existe des solutions pour guérir et alléger les souffrances
    non je ne pense pas je suis ouverte aux thérapies softs mais efficaces qui sont très libératrices

  81. Florence dit :

    Bonjour, je ressens plusieurs blessures dues au passé, je travaille déjà beaucoup sur moi-même mais je pense qu’elles sont toujours présentes, le rejet, l’abandon, et je pense aussi l’humiliation. Est-ce possible?

  82. HUGUEL nadine dit :

    c’est d’avoir entendu mon père souvent dire que j’étais une pauvre cloche.
    je pense que la vie aurait été meilleure et plus douce.

  83. HUGUEL nadine dit :

    je n’étais pas 1 enfant désirée mais avec un travail en kinésiologie et en décryptage biologique cela s’estompe mais bcp de souffrances par le passé

  84. Barbara dit :

    Bonjour Anna

    Je dirais ne pas m’être reconnue dans ces situations mais ressentir que certains mots me touchaient au coeur comme humiliation, injustice et les autres aussi, c’est comme une immense toile dans laquelle je me sens prisonnière. J’y travaille avec l’aide de mon enfant intérieure avec une femme extraordinaire et là peut être que son travail commençant à porter ses fruits je me sens peut être encore plus mal et la vie me met à l’épreuve. Mais je suis une grande très grande optimiste alors j’y crois.

    Merci Anna !

    Je suis une personne très directive, qui contrôle tout qui ne s’abandonne pas ou peu.

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Ils se sont libérés de leurs blessures émotionnelles !

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  2. Comment sera votre vie sans cette souffrance ?

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  1. Perrier dit :

    Merci Ana, je suis pas sure de me reconnaître avec certitude mais j’attends la suite.

  2. Pascal dit :

    Bonjour Ana et tous. je me retrouve dans tous ces témoignages aussi je rajoute simplement ceci: l’union fais la force; mais comment faire la somme de nos capacités positives pour les autres pour qu’elles le soient pour nous même?

  3. Corinne dit :

    3 blessures me parlent particulièrement : rejet, abandon et injustice.
    Cela me bloque particulièrement dans ma vie affective et ma vie relationnelle, alors que suis moi même thérapeute.
    Lorsque j’oeuvre au service de la Vie, je sens et je connecte cette vastitude où tout fait un.
    Mais dès que je reviens à ma vie, je suis reprise par toutes ces blessures, et n’arrive pas à retrouver ce UN.
    Je suis un peu découragée, ayant fait déjà tellement de choses…

  4. Emeline dit :

    Bonsoir,

    Eh bien, je ne sais pas quoi répondre, plusieurs blessures me parlent comme l’abandon, le rejet, l’humiliation, mais à des degrés différents et puis peut être la trahison aussi. Oui j’ai conscience que ces blessures influencent ma vie. Elles m’empêchent de m’épanouir pleinement sûrement. Je suis dans une période particulière, en séparation avec le papa de ma fille de 3 ans. A la fois je le vis bien et à la fois c’est comme un mur infranchissable qui nous sépare maintenant, je me sens blessée, j’ai totalement perdu confiance en lui et je pense que je culpabilise aussi un peu vis à vis de ma fille. Je n’ai plus beaucoup goût à la vie parfois. Ce qui me tient c’est mon projet professionnel et être avec ma fille mais je n’ai comme plus d’énergie parfois. J’alterne entre motivation et limite de la dépression. Je crois en effet que je peux me guérir de mes blessures, j’ai entamé un travail sur moi depuis mes 19 ans, j’ai conscience que nous sommes les créateurs de notre vie. Pourtant quelque chose persiste dont je n’arrive pas à me défaire.

  5. Johanne dit :

    Ma vie serait beaucoup plus agréable que maintenant, si je pouvais faire confiance aux autres, mais je reste toujours sur mes gardes, face à mes relations inter-personnelles, on me ment très souvent et je m’en aperçois presque toujours, c’est décevant et frustrant.

  6. Johanne dit :

    L’injustice en premier, et trahison en second.

  7. Michele dit :

    Je pense qu’il est possible de guérir, en tout cas, j’y crois.

  8. nadia dit :

    bonjour Ana,

    depuis l’enfance, je souffre des blessures de rejet et d’injustice. Je pense ne pas avoir été désirée par mon père et porte la responsabilité de l’engagement de mes parents dans un mariage qui les rend malheureux tous les deux. J’ai l’impression que je ne mérite pas d’être heureuse. En tant qu’ainée, je me suis évertuée à être parfaite au point d’être coupée de mes désirs et besoins. En couple, je vis une dépendance affective dont je m’extirpe petit à petit grâce à un groupe de parole. J’ ai vécu l’humiliation avec mon compagnon car il tente de se sortir du problème de l’alcoolisme. Et je souffre de surpoids.

  9. gilberte dit :

    bonjour Anna,
    ah les blessures! Un sujet qui me questionne actuellement. Ma blessure que je n’arrive pas à colmater, je ne suis pas la seule à lire les commentaires, c’est le divorce, la perte de mon mari que j’adore(ais) de mes enfants. MAIS c’est une occasion extraordinaire de vivre avec moi et de développer la personnalité vraie que j’ai en moi. Après 10 ans, je peux dire que c’est une chance et que c’est juste pour moi. J’accueille cette blessure, je vis avec, beaucoup de choses ont changé, ma vie est différente. si je pense parfois au passé, j’ai le spleen, si je suis dans l’instant présent j’ai la joie. c’est vrai qu’il est impossible pour l’instant de vivre en couple, je suis fermée.Ce n’est pas une blessure, c’est un point de suspension. Je m’aime, j’aime ma vie, j’aime les êtres humains, alors que demander de mieux?Merci pour vos videos et votre fraicheur

  10. Claudibe dit :

    J’hésite entre le rejet et la trahison…
    Je dirais que la méfiance est la conséquence de ces deux situations!

  11. Claudibe dit :

    Je crois qu’il est possible de se reconnaître dans plusieurs exemples… Par contre, j’ai confiance que ces schémas de souffrance peuvent être règlés. C’est le travail que j’ai débuté par le passé et pour lequel je mets les bouchées doubles actuellement! Ce qui est le plus désolant, c’est de réaliser qu’à plusieurs occasions je retombe dans le piège et mes blessures sont ravivées! Mais il y aura une fin à ces souffrances… J’y travaille!

  12. Nadine dit :

    la blessure d’abandon est celle qui me fait le plus souffrir. Que sera ma vie sans elle? Joyeuse, pleine et radieuse

  13. Nadine dit :

    J’ai reconnu la blessure d’abandon et de rejet. Dans le quotidien, toujours l’impression que je n’ai pas ma place ou que l’on complote contre moi. Aussi grande difficulté d’entrer dans une relation amoureuse

  14. Pierre dit :

    Un jour, je me suis pris pour Dieu. Et, ça a marché. Maintenant, tout le monde m’en veut. Comment me faire pardonner, vu que je ne puis pas me pardonner moi-même.

  15. Jerem dit :

    1)Oui
    2)ça me freine dans beaucoup de domaines en général en me plongeant dans l’inactivité, inefficacité et la confusion

  16. MURIEL dit :

    J’aimerais bien savoir de quelle blessure vient le manque d’abondance financière???

  17. MURIEL dit :

    Je pense qu’il est possible de guérir, c’est en cours. Certaines situations ne sont pas toujours évidentes à comprendre. Est ce de la résistance de désirer très fort quelque chose, est ce du contrôle??? j’ai quelque fois du mal à faire le tri parmi les épreuves plus ou moins difficiles que je rencontre.

  18. MURIEL dit :

    Bonsoir Ana, j’ai du mal à trouver ma place, je n’avais pas le droit de donner mon avis quand j’étais enfant, on décidait pour moi et j’obéissais. j’ai beaucoup travaillé et je continue avec une thérapeute et la PBAP.
    Même si j’avance à mon rythme, le principal est d’avancer et de guérir.

  19. MURIEL dit :

    Difficile de choisir
    – place
    – rejet
    – injustice

  20. MURIEL dit :

    Je me reconnais dans différentes blessures: ma place dans le monde et le manque de place car je vis dans un petit appartement. Professionnellement je suis freinée depuis longtemps….

  21. abel dit :

    1 – je pense que oui
    2 – effectivement, une voix me dire que c’est impossible.

  22. Flicker dit :

    Bonsoir Ana. Je souffre depuis + de 5 ans au niveau des chevilles et poignets (comme un garrot très serré 24h/24h) et avec des crises de douleurs dans tout le corps. Sans résultat, je « travaille » actuellement avec le livre du Pr John Sarno sur les STM qui sont induits par les émotions refoulées dans notre inconscient. A mardi avec plaisir ! Bien à vous. Valérie

  23. abel dit :

    1 – manque d’estime de soi
    2 – je peux réaliser touts mes projets

  24. abel dit :

    1 – j’ai vécu le cas d’humiliation
    2 – manque de confiance

  25. Nathalie dit :

    Ana,
    Merci de ces questions essentielles.
    Bien sûr qu’il est possible de guérir !
    En chaque humain règne une blessure, après à chacun son degré, son histoire et sa résilience.
    Je crois à la séance de rattrapage quand on a le sens/le temps/ le choix/ la chance de se poser et de prendre conscience qu’il y a ce cheminement personnel à faire.
    Des années de psy, des discussions à bâtons rompus, des reparamétrages de l’inconscient par une kinésio, diverses pistes dans la lecture m’ont en partie guérie mais je cherche toujours le petit pois sous le matelas, très dur et très gênant, qui m’invalide encore dans l’essentiel.

  26. Estelle dit :

    Sans hésiter, l’abandon: ce trou béant que rien ne peut combler. Cette peur incommensurable que la relation amoureuse s’arrête… du coup, je reprends le contrôle en détruisant très rapidement les relations sentimentales et vis seule depuis des années. Quelle connerie, je sais bien…mais je réalise généralement après avoir agit!

  27. Nathalie dit :

    Après la 2ème vidéo, je vois bien que la souffrance d’abandon prédomine.
    Donc une vie sans souffrance serait un juste équilibre dans les relations affectives en cessant la quête de reconnaissance ou les situations de dépendance.

  28. Frédéric dit :

    J’attends la conférence avec impatience et me sens… très concerné 😉
    Merci Anna…et merci pour ton accent absolument charmant:-)

  29. Marie-Claude dit :

    Oui je pense qu’on peut guérir, il y a plusieurs exemples qui le prouvent mais est ce que j ‘en suis capable ? est ce vrai pour moi aussi ? car après pas mal d ‘années de développement personnel , j ‘ai l ‘impression de ne pas avancer. Résistance ?

  30. Marie-Claude dit :

    ma plus grande souffrance emotionnelle est de ne pas me sentir aimée, écoutée, entendue , crue par la personne que j ‘aime, et aussi lorsque cette personne me ment et annule nos projets sans explication; je me sens alors sans valeur, blessée.
    J ‘aime tant l ‘harmonie, la douceur dans les relations et dans la vie en général

  31. Marie-Claude dit :

    Je pensais n ‘avoir que les blessures d ‘abandon et de rejet mais depuis plusieurs mois, je vis une relation amoureuse qui me fait souffrir car elle révèle de façon aigüe les 5 blessures dont vous venez de parler.

  32. adeline lange dit :

    bonjour,

    j’ai toujours eu besoin de faire beaucoup de choses pour les autres parce que j’ai très souvent été en demande inconsciente de reconnaissance, je sais faire beaucoup de chose je demarre très facilement un nouveau travail en tant qu’indépendant mais très vite je laisse tomber je ne vais pas jusqu’au bout,
    Adeline

    • Nathalie dit :

      Bonsoir Anna,
      Il me semble reconnaître un peu de toutes les blessures sauf l’humiliation. Peut-être en tête de podium le rejet et l’injustice.
      Parfois, un sentiment de solitude, d’incompréhension dans mes relations.
      J’ai souvent l’impression d’être en décalage, à la limite de hyper-sensibilité même si je trouve que cela est un de mes atouts.
      Mais, cela crée parfois chez moi de la réactivité, des problèmes de lâcher-prise et de confiance dans les autres et surtout moi-même. Du coup, il m’arrive de culpabiliser sur toutes les conséquences de mes choix et d’avoir de moins en moins envie de me lancer..

  33. Georges dit :

    Bonjour,
    Oui, je pense que c’est possible de guérir, il y a pas mal d’exemples!
    Et oui aussi, je crois qu’il y a une résistance intérieure, une peur du changement, de la réussite en moi.

  34. Georges dit :

    Bonjour,
    C’est donc l’injustice, le manque de reconnaissance. Sans ce « handicap » je pourrais avoir des relations plus ouvertes, plus faciles, plus généreuses avec les autres.

  35. Georges dit :

    Bonjour,
    Je me reconnais assez dans le dernier cas, celui de l’injustice, ayant eu l’impression de ne pas être aimé pour ce que j’étais mais pour ce que j’aurais dû être.
    Du coup je suis en recherche de reconnaissance de la part des autres, j’ai du mal à me situer dans mes relations avec les autres et j’ai du mal à ne pas être dans le jugement de moi-même ou des autres.

  36. audrey dit :

    oui bien sure je pense qu’il est possible de guérir . Si quelque chose en moi résiste à cette guérison c’est cette petite voix qui me dis « tu n’y arrivera pas car tu t’y prend mal ou tu ne sais pas faire »

  37. audrey dit :

    ma plus grande souffrance est ce manque de confiance en moi. Elle me fige m’empêche d’aller au bout des choses. Une fois ce problème dépassé je pourrais aller de l’avant et construire ma vie comme je la désire

  38. Danya dit :

    j’ai 64 ans je ne me suis pas reconnu dans les situations de la vidéo, mais j’ai toujours eu un problème pour gagner ma vie et ma retraite dans un an ne me permettra pas de vivre correctement. j’aimerais sortir de cette loyauté à la famille concernant l’argent. merci pour votre intervention, je vous suis dans les interviews de différents personnes particulièrement intéressantes.

    • gilberte dit :

      si je peux me permettre de vous répondre, j’ai 62 ans, je suis retraitée et si je devais me contenter de ma retraite, ce serait galère. alors je bosse. j’aime ce que je fais ( auxiliaire de vie) j’apporte les forces qui me restent contre rémunération. de plus en plus de retraités bossent. je crois qu’il faut changer ses croyances sur la retraite: repos bien mérité!!! Pour moi, c’est petit revenu de base assuré pour faire mieux. Bon courage

  39. audrey dit :

    bonjour Anna,

    j ai reconnu les blessure de rejet d’abandon et d’ injustice . Dans ma vie quotidienne cela se traduit par un besoin mais une peur de l’engagement affectif un manque de confiance en moi et une difficulté à passer à l’action . J’ai un projet professionnel qui me tiens à coeur mais je suis figée à cause de ce manque de confiance.

  40. brigitte dit :

    ça fait longtemps que je travaille sur les 5 blessures(et ds le questionnaire ,j’ai mis de +en+)

    et là,pour la 1ere fois je comprends un peu mieux la blessure de trahison, (que je ne vois pas du tout chez moi

  41. Dominique dit :

    1) guérir c’est accueillir cette part blessée c’est l’identifier au moment où la souffrance apparait, en même temps c’est toujours là car c’est constitutif, cela prend moins d’importance lorsque j’y met de la conscience, que c’est l’enfant qui souffre et l’adulte peut le prendre dans ces bras…
    Pas toujours évident, ce qui m’impressionne c’est le système de répétition dans lequel je me retrouve et en même temps cette solitude me pèse et pourtant je retrouve un espace une liberté même si je suis dans un flou professionnel personnel en situation d’insécurité financière et en même temps je chante je fais du sport, du théâtre je suis sortie de mon canapé ma grande peur c’est de ne jamais pouvoir être dans une autre forme de relation avec un homme

  42. Gisèle dit :

    je ne sais pas dans quelle émotion le placer, mais moi, j’ai été beaucoup rabaisser dans le passé . actuellement , je travaille sur mon intuition , et la petite voix me disait qu’il fallait que je travaille le pardon, car cela me bloquait pour avancer.

  43. Sylvie dit :

    Oui je pense qu’il est possible de guérir de ses blessures. Seulement, une partie de moi résiste, me freine. J’ai l’impression d’être jugée en permanence. J’ai reçu une éducation ou il fallait être comme les autres voulaient qu’on soit et pas comme on voulait être soi-même. Le « qu’en diras-ton » était permanent, le jugement, le paraître. Difficile d’être soi dans ces conditions. C’est encore aujourd’hui à plus de 50 ans toujours un énorme frein.

  44. Sylvie dit :

    Une de mes plus grandes souffrances émotionnelles est le manque de confiance en moi. Je ne vais jamais au bout des choses. Je suis frustrée et je culpabilise de ne pas avancer. Je m’en veux tout le temps. Jamais de joie, de plaisir, je ne profite de rien.
    Ma vie serait tellement plus heureuse sans ces souffrances et j’aurais l’impression de vivre ma vie et non de passer à côté.

  45. Pascale dit :

    oui il est possible de guérir mais il doit y avoir des rechutes après tant d’années avec elles et ces blessures doivent s’accrocher, ce ne doit pas être facile

  46. Pascale dit :

    l’injustice et la trahison je crois mais sans justification comme dans les exemples ….
    Un peu l’abandon
    peut on avoir plusieurs blessures mais pas très prononcées ?
    ma vie sera plus simple et plus sereine je pense

  47. Sylvie dit :

    Je me suis reconnue dans plusieurs
    situations.Le rejet, pas toujours bien dans ce que je fais ou avec qui je suis, L’humiliation ?, j’ai toujours eu des problèmes de poids.L’injustice, il y avait beaucoup de principes dans mon éducation,j’ai toujours beaucoup de difficultés à me détendre, à avoir du plaisir, je travaille beaucoup pour obtenir la perfection que je n’atteinds jamais et je suis toujours frustrée de ne pas réussir.
    Au quotidien, c’est un manque de confiance en soi de’estime de soi et pas de joies ne de plaisir.

  48. Jocelyne Patry Moro dit :

    Oui, c’est fascinant de constater que la blessure de rejet peut nous suivre toute la vie, si on ne s’en libère pas. Il y a quelques années, bien que je vivais chez moi dans ma maison, avec mon conjoint, qui vient d’une très grande famille, j’ai encore vécu cette expérience …… Avec le temps,je me suis sentie envahie par la présence des siens qui venaient nous rendre visite souvent, pour plusieurs jours, si bien qu’on occupait ma place, mon bureau, mon espace . J’avais de la difficulté à me retrouver et ….. je ne me sentais plus chez moi, dans ma propre demeure. S’en est suivi une séparation…….et un cancer

  49. laure dit :

    Oui je pense qu’il est possible de guérir ses blessures.

    Je souhaite guérir et je ne sais pas s’il y a quelque chose en moi qui résiste pour cette guérison et de quoi il s’agit exactement si c’est le cas.

  50. laure dit :

    Ma plus grande souffrance est d’avoir vu et de voir ma mère sur-vivre au lieu de vivre, malheureuse, soupçonneuse et médisante sur tout dans la vie. Ca me fait souffrir de la voir se trainer comme un fantome, comme quelqu un d’aveugle sur l’amour et le positif.

  51. Frederique dit :

    Bonsoir Ana,

    Je pense que ma blessure est la trahison mais ce n’est pas facile de faire un lien avec tous mes handicaps. J’ai beaucoup de peur. Je suis assez méfiante. Je prends les choses de facon personnelle.
    Frederique

  52. laure dit :

    sentiment de pas avoir été désirée – de ne pas oser prendre ma place/ de ne pas oser affirmer, exprimer et vivre qui je suis.

  53. Véronique dit :

    Bonsoir Ana, oui, je pense qu’il est possible de guérir de ses blessures, mais aujourd’hui, je ne crois pas que ce soit possible pour toutes tant elles sont ancrées profondément et depuis des générations. Je veux bien croire qu’une partie de moi résiste, j’ai tellement grandi dans l’abandon, l’irrespect et la peur que j’ai toujours dit que tout cela coulait dans mes veines depuis ma naissance, que cela faisait complètement partie de moi. J’ai peut être simplement peur de me débarrasser pleinement de mes douleurs, inconsciemment en m’y accrochant. Du coup, je ne suis pas LIBRE et les femmes de ma lignée n’avaient pas le droit à la liberté, simplement à la soumission… Comment quitter tout cela pour devenir sereine et enfin MOI ?
    Merci

  54. Annabel Guiard dit :

    Rejet et humiliation. Oui, manque de confiance, autoestime, sensation de ne pas être aimé, problèmes d’ argent, peurs, envie de mourir parfois (alors que dans le fond je ne veux pas mourir), tristesse, rage. Je suis moi même thérapeute mais je ne me sens pas complêtement libérée de mes blessures.

  55. Véronique dit :

    Bonsoir Ana, je crois que ma plus grosse souffrance émotionnelle est l’ABANDON.
    Sans cela, je serai moins dans l’attente douloureuse, je serai plus concentrée sur mes propres besoins, mes envies, mes plaisirs, je me respecterai plus, je serai moins triste, j’aurai plus d’énergie, ma Vie serait plus douce, juste et vraie.
    Merci à vous.

  56. Véronique dit :

    Bonsoir Ana et merci à vous pour ce que vous faites. Je me suis retrouvée dans votre vidéo avec le cumul de situations. Aujourd’hui, après des années de travail sur moi, je sais que j’ai encore des douleurs profondes. Les conséquences d’un divorce dramatique me font encore penser à l’abandon, le rejet, l’irrespect, la peur, l’injustice. Ceci fait de moi quelqu’un qui n’avance pas avec son plein potentiel, je suis plutôt solitaire à vouloir me libérer de mes croyances limitantes et à chasser les gens toxiques de ma vie. Il y a de belles personnes comme vous qui tendent la main à ceux qui en ont besoin. MERCI. Belle continuation à vous.

  57. Paule dit :

    oui je pense qu’il est possible de guérir.
    je ne sais pas si c’est un résistance à la guérison ou une peur d’aller vers l’inconnu ?

  58. maria dit :

    Bonjour je me suis reconnu , je suis la cinqueme anfant de 8 ma mere ma donne a d’autres personne pour m’enlever a l’age de 5 ans , blessures? Je n’ai trops pour les compter. Cordialment Maria

  59. nathalie dit :

    Ma plus grande souffrance émotionnelle est dû à plusieurs trahisons amoureuse de mon premier amour .Cette relation a duré 7 ans ,je l’ai quitté, puis j’ai rencontré mon mari.
    23 ans après, j’éprouve toujours de la colère et un manque de confiance en moi et les autres.

  60. Paule dit :

    ma plus grande souffrance et je crois de ne pas m’accepter.
    Ma vie serai légère et plus tranquille.

  61. Paule dit :

    Je me suis reconnu dans la blessure de rejet.
    Je ne me sens pas à l’aise dans mon travail. Je me retrouve en situation de victime de harcèlement à plusieurs reprises.
    la deuxième blessure que j’ai reconnu c’est la blessure d’humiliation (je crois). Je le ressens comme cela. Je suis particulièrement sensible aux jugement des autres et je ne me sens pas à ma place sauf quand je connais bien les gens.

  62. Jocelyne dit :

    oui c’est possible de guérir. Et non je ne résiste pas à l’envie de guérir, elle est plus que tout importante à ce jour pour pouvoir avancer dans la vie

  63. Jocelyne dit :

    ma plus grande souffrance est de ne pas trouver ma place et de me sentir rejetée. Sans cette souffrance j’aurai de meilleures relations avec les autres et je retrouverai de la joie

  64. Jocelyne dit :

    Oui je me suis reconnue. Au quotidien problèmes relationnels, gros manques affectifs, sentiment de pas être à ma place, d’être bien nul part…

  65. Chalas dit :

    C’est possible de guérir et de s’en sortir. Je n’ai pas l’impression d’être sous l’emprise aveugle des blessures infantiles.
    « connais toi toi-même » disait Aristote

  66. je crois en la guérison , la seule résistance c’est mon mental ou ego

  67. Chalas dit :

    Ma souffrance somato- émotionnelle se traduit par des douleurs nerveuses (cruralgie côté droit ) . Ca ne m’empêche pas de marcher. j’évite seulement de me lancer dans des grandes excursions

  68. Béosière dit :

    si estoy convencida que es posible curar (1)
    tal vez sea inseguridad (2)

  69. CANDEL isabelle dit :

    Ma plus grande souffrance est l’humiliation. Me respecter me permettrait de plus m’aimer .

  70. CANDEL isabelle dit :

    Je me suis reconnu dans ces 5 blessures.Divorcée depuis 3 ans , j’ai du mal à me reconstruire.

  71. Béosière dit :

    el abandono(1)

    seria mas afirmada ! (2)

  72. Béosière dit :

    Si reconoci las cinco

  73. Nancy dit :

    Oui ça pour m’être reconnu oui !Ca m’handicape à tout les niveaux travail, relationnel et et amour, l’aspect financier, réussite professionnelle…

  74. Chalas dit :

    Reconnaissance avec les 5 blessures. vécues réellement dans le passé. Mais cela ne me pose plus de questions, pas de problème, ni handicape, comme si j’étais « cool » depuis ma naissance.

  75. tanezie dit :

    1) je suis certaine qu’il est possible de guerir travaillant en développement personnel dans plusieurs approches thérapeutiques cela reste long et au qutidien

    2) ce développement personnel a été interrompu depuis 1an 1/2,maintenant suite à l’abandon de mon mari , relation merveilleuse pendant 17 ans dont j’ai un grand mal à faire le deuil

  76. Bruno dit :

    Bonsoir Ana.

    Je me suis en effet reconnu dans la blessure d’abandon, la trahison et aussi l’injustice à des degrés variés souvent violents et démesurés par rapport à la situation. Le domaine dans lequel ces blessures se réveillent depuis très longtemps, c’est dans la relation de couple. Notamment la dernière qui a duré 5 ans avec 2 séparations et 3 reprises et là nous nous séparons de nouveaux. Elle en peut plus et je peux la comprendre. Cette personne est très douce et très forte intérieurement. Malgré tout l’amour qu’elle me donne et la confiance qu’elle a en moi, je suis toujours insatisfait et quelque chose en moi rumine sans cesse, se méfie et sabote chaque moment ou on pourrait être dans la paix et la douceur. Beaucoup de reproche aussi parce qu’elle ne souhaite pas prendre un travail depuis 5 ans. Je me mets dans des rages incroyables voir Haine et rejet en me rendant compte toujours trop tard que j’aimerais en fait pouvoir être comme elle en confiance dans la vie, calme, serein et que j’ai le droit de prendre du temps pour savoir ce que je voudrais vraiment faire. Bref j’aurais beaucoup à dire. Peut être que lors du webinar nous aborderons ces sujets en tout cas merci pour ce que vous faites. Bruno

  77. tanezie dit :

    1° que l’autre ne me respecte pas mais je pense que je n’exprime pas vraiment mes besoins

    2° la non reconnaissance de mon travail et de tous les efforts que je fais

  78. tanezie dit :

    humiliation
    injustice

    quotidien le handicap je cherche constamment la perfection peut être un peu moins depuis que je travaille en développement personnel
    je commence à apprendre à me respecter mais très difficile pour moi encore

  79. Adeline dit :

    Je me suis retrouver dans plusieurs blessures.
    Je dirais que j’ai peur de faire les mauvais choix du coup je prends pas de décision, j’ai aussi un problème de surpoids comme une barrière de protection, du coups je manque de confiance en moi et j’ai de plus en plus tendance à m’isoler.

  80. HUGUEL nadine dit :

    heureusement qu’il existe des solutions pour guérir et alléger les souffrances
    non je ne pense pas je suis ouverte aux thérapies softs mais efficaces qui sont très libératrices

  81. Florence dit :

    Bonjour, je ressens plusieurs blessures dues au passé, je travaille déjà beaucoup sur moi-même mais je pense qu’elles sont toujours présentes, le rejet, l’abandon, et je pense aussi l’humiliation. Est-ce possible?

  82. HUGUEL nadine dit :

    c’est d’avoir entendu mon père souvent dire que j’étais une pauvre cloche.
    je pense que la vie aurait été meilleure et plus douce.

  83. HUGUEL nadine dit :

    je n’étais pas 1 enfant désirée mais avec un travail en kinésiologie et en décryptage biologique cela s’estompe mais bcp de souffrances par le passé

  84. Barbara dit :

    Bonjour Anna

    Je dirais ne pas m’être reconnue dans ces situations mais ressentir que certains mots me touchaient au coeur comme humiliation, injustice et les autres aussi, c’est comme une immense toile dans laquelle je me sens prisonnière. J’y travaille avec l’aide de mon enfant intérieure avec une femme extraordinaire et là peut être que son travail commençant à porter ses fruits je me sens peut être encore plus mal et la vie me met à l’épreuve. Mais je suis une grande très grande optimiste alors j’y crois.

    Merci Anna !

    Je suis une personne très directive, qui contrôle tout qui ne s’abandonne pas ou peu.

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86 réponses à “blessures du passé page de remerciement webinaire”

  1. Perrier dit :

    Merci Ana, je suis pas sure de me reconnaître avec certitude mais j’attends la suite.

  2. Pascal dit :

    Bonjour Ana et tous. je me retrouve dans tous ces témoignages aussi je rajoute simplement ceci: l’union fais la force; mais comment faire la somme de nos capacités positives pour les autres pour qu’elles le soient pour nous même?

  3. Corinne dit :

    3 blessures me parlent particulièrement : rejet, abandon et injustice.
    Cela me bloque particulièrement dans ma vie affective et ma vie relationnelle, alors que suis moi même thérapeute.
    Lorsque j’oeuvre au service de la Vie, je sens et je connecte cette vastitude où tout fait un.
    Mais dès que je reviens à ma vie, je suis reprise par toutes ces blessures, et n’arrive pas à retrouver ce UN.
    Je suis un peu découragée, ayant fait déjà tellement de choses…

  4. Emeline dit :

    Bonsoir,

    Eh bien, je ne sais pas quoi répondre, plusieurs blessures me parlent comme l’abandon, le rejet, l’humiliation, mais à des degrés différents et puis peut être la trahison aussi. Oui j’ai conscience que ces blessures influencent ma vie. Elles m’empêchent de m’épanouir pleinement sûrement. Je suis dans une période particulière, en séparation avec le papa de ma fille de 3 ans. A la fois je le vis bien et à la fois c’est comme un mur infranchissable qui nous sépare maintenant, je me sens blessée, j’ai totalement perdu confiance en lui et je pense que je culpabilise aussi un peu vis à vis de ma fille. Je n’ai plus beaucoup goût à la vie parfois. Ce qui me tient c’est mon projet professionnel et être avec ma fille mais je n’ai comme plus d’énergie parfois. J’alterne entre motivation et limite de la dépression. Je crois en effet que je peux me guérir de mes blessures, j’ai entamé un travail sur moi depuis mes 19 ans, j’ai conscience que nous sommes les créateurs de notre vie. Pourtant quelque chose persiste dont je n’arrive pas à me défaire.

  5. Johanne dit :

    Ma vie serait beaucoup plus agréable que maintenant, si je pouvais faire confiance aux autres, mais je reste toujours sur mes gardes, face à mes relations inter-personnelles, on me ment très souvent et je m’en aperçois presque toujours, c’est décevant et frustrant.

  6. Johanne dit :

    L’injustice en premier, et trahison en second.

  7. Michele dit :

    Je pense qu’il est possible de guérir, en tout cas, j’y crois.

  8. nadia dit :

    bonjour Ana,

    depuis l’enfance, je souffre des blessures de rejet et d’injustice. Je pense ne pas avoir été désirée par mon père et porte la responsabilité de l’engagement de mes parents dans un mariage qui les rend malheureux tous les deux. J’ai l’impression que je ne mérite pas d’être heureuse. En tant qu’ainée, je me suis évertuée à être parfaite au point d’être coupée de mes désirs et besoins. En couple, je vis une dépendance affective dont je m’extirpe petit à petit grâce à un groupe de parole. J’ ai vécu l’humiliation avec mon compagnon car il tente de se sortir du problème de l’alcoolisme. Et je souffre de surpoids.

  9. gilberte dit :

    bonjour Anna,
    ah les blessures! Un sujet qui me questionne actuellement. Ma blessure que je n’arrive pas à colmater, je ne suis pas la seule à lire les commentaires, c’est le divorce, la perte de mon mari que j’adore(ais) de mes enfants. MAIS c’est une occasion extraordinaire de vivre avec moi et de développer la personnalité vraie que j’ai en moi. Après 10 ans, je peux dire que c’est une chance et que c’est juste pour moi. J’accueille cette blessure, je vis avec, beaucoup de choses ont changé, ma vie est différente. si je pense parfois au passé, j’ai le spleen, si je suis dans l’instant présent j’ai la joie. c’est vrai qu’il est impossible pour l’instant de vivre en couple, je suis fermée.Ce n’est pas une blessure, c’est un point de suspension. Je m’aime, j’aime ma vie, j’aime les êtres humains, alors que demander de mieux?Merci pour vos videos et votre fraicheur

  10. Claudibe dit :

    J’hésite entre le rejet et la trahison…
    Je dirais que la méfiance est la conséquence de ces deux situations!

  11. Claudibe dit :

    Je crois qu’il est possible de se reconnaître dans plusieurs exemples… Par contre, j’ai confiance que ces schémas de souffrance peuvent être règlés. C’est le travail que j’ai débuté par le passé et pour lequel je mets les bouchées doubles actuellement! Ce qui est le plus désolant, c’est de réaliser qu’à plusieurs occasions je retombe dans le piège et mes blessures sont ravivées! Mais il y aura une fin à ces souffrances… J’y travaille!

  12. Nadine dit :

    la blessure d’abandon est celle qui me fait le plus souffrir. Que sera ma vie sans elle? Joyeuse, pleine et radieuse

  13. Nadine dit :

    J’ai reconnu la blessure d’abandon et de rejet. Dans le quotidien, toujours l’impression que je n’ai pas ma place ou que l’on complote contre moi. Aussi grande difficulté d’entrer dans une relation amoureuse

  14. Pierre dit :

    Un jour, je me suis pris pour Dieu. Et, ça a marché. Maintenant, tout le monde m’en veut. Comment me faire pardonner, vu que je ne puis pas me pardonner moi-même.

  15. Jerem dit :

    1)Oui
    2)ça me freine dans beaucoup de domaines en général en me plongeant dans l’inactivité, inefficacité et la confusion

  16. MURIEL dit :

    J’aimerais bien savoir de quelle blessure vient le manque d’abondance financière???

  17. MURIEL dit :

    Je pense qu’il est possible de guérir, c’est en cours. Certaines situations ne sont pas toujours évidentes à comprendre. Est ce de la résistance de désirer très fort quelque chose, est ce du contrôle??? j’ai quelque fois du mal à faire le tri parmi les épreuves plus ou moins difficiles que je rencontre.

  18. MURIEL dit :

    Bonsoir Ana, j’ai du mal à trouver ma place, je n’avais pas le droit de donner mon avis quand j’étais enfant, on décidait pour moi et j’obéissais. j’ai beaucoup travaillé et je continue avec une thérapeute et la PBAP.
    Même si j’avance à mon rythme, le principal est d’avancer et de guérir.

  19. MURIEL dit :

    Difficile de choisir
    – place
    – rejet
    – injustice

  20. MURIEL dit :

    Je me reconnais dans différentes blessures: ma place dans le monde et le manque de place car je vis dans un petit appartement. Professionnellement je suis freinée depuis longtemps….

  21. abel dit :

    1 – je pense que oui
    2 – effectivement, une voix me dire que c’est impossible.

  22. Flicker dit :

    Bonsoir Ana. Je souffre depuis + de 5 ans au niveau des chevilles et poignets (comme un garrot très serré 24h/24h) et avec des crises de douleurs dans tout le corps. Sans résultat, je « travaille » actuellement avec le livre du Pr John Sarno sur les STM qui sont induits par les émotions refoulées dans notre inconscient. A mardi avec plaisir ! Bien à vous. Valérie

  23. abel dit :

    1 – manque d’estime de soi
    2 – je peux réaliser touts mes projets

  24. abel dit :

    1 – j’ai vécu le cas d’humiliation
    2 – manque de confiance

  25. Nathalie dit :

    Ana,
    Merci de ces questions essentielles.
    Bien sûr qu’il est possible de guérir !
    En chaque humain règne une blessure, après à chacun son degré, son histoire et sa résilience.
    Je crois à la séance de rattrapage quand on a le sens/le temps/ le choix/ la chance de se poser et de prendre conscience qu’il y a ce cheminement personnel à faire.
    Des années de psy, des discussions à bâtons rompus, des reparamétrages de l’inconscient par une kinésio, diverses pistes dans la lecture m’ont en partie guérie mais je cherche toujours le petit pois sous le matelas, très dur et très gênant, qui m’invalide encore dans l’essentiel.

  26. Estelle dit :

    Sans hésiter, l’abandon: ce trou béant que rien ne peut combler. Cette peur incommensurable que la relation amoureuse s’arrête… du coup, je reprends le contrôle en détruisant très rapidement les relations sentimentales et vis seule depuis des années. Quelle connerie, je sais bien…mais je réalise généralement après avoir agit!

  27. Nathalie dit :

    Après la 2ème vidéo, je vois bien que la souffrance d’abandon prédomine.
    Donc une vie sans souffrance serait un juste équilibre dans les relations affectives en cessant la quête de reconnaissance ou les situations de dépendance.

  28. Frédéric dit :

    J’attends la conférence avec impatience et me sens… très concerné 😉
    Merci Anna…et merci pour ton accent absolument charmant:-)

  29. Marie-Claude dit :

    Oui je pense qu’on peut guérir, il y a plusieurs exemples qui le prouvent mais est ce que j ‘en suis capable ? est ce vrai pour moi aussi ? car après pas mal d ‘années de développement personnel , j ‘ai l ‘impression de ne pas avancer. Résistance ?

  30. Marie-Claude dit :

    ma plus grande souffrance emotionnelle est de ne pas me sentir aimée, écoutée, entendue , crue par la personne que j ‘aime, et aussi lorsque cette personne me ment et annule nos projets sans explication; je me sens alors sans valeur, blessée.
    J ‘aime tant l ‘harmonie, la douceur dans les relations et dans la vie en général

  31. Marie-Claude dit :

    Je pensais n ‘avoir que les blessures d ‘abandon et de rejet mais depuis plusieurs mois, je vis une relation amoureuse qui me fait souffrir car elle révèle de façon aigüe les 5 blessures dont vous venez de parler.

  32. adeline lange dit :

    bonjour,

    j’ai toujours eu besoin de faire beaucoup de choses pour les autres parce que j’ai très souvent été en demande inconsciente de reconnaissance, je sais faire beaucoup de chose je demarre très facilement un nouveau travail en tant qu’indépendant mais très vite je laisse tomber je ne vais pas jusqu’au bout,
    Adeline

    • Nathalie dit :

      Bonsoir Anna,
      Il me semble reconnaître un peu de toutes les blessures sauf l’humiliation. Peut-être en tête de podium le rejet et l’injustice.
      Parfois, un sentiment de solitude, d’incompréhension dans mes relations.
      J’ai souvent l’impression d’être en décalage, à la limite de hyper-sensibilité même si je trouve que cela est un de mes atouts.
      Mais, cela crée parfois chez moi de la réactivité, des problèmes de lâcher-prise et de confiance dans les autres et surtout moi-même. Du coup, il m’arrive de culpabiliser sur toutes les conséquences de mes choix et d’avoir de moins en moins envie de me lancer..

  33. Georges dit :

    Bonjour,
    Oui, je pense que c’est possible de guérir, il y a pas mal d’exemples!
    Et oui aussi, je crois qu’il y a une résistance intérieure, une peur du changement, de la réussite en moi.

  34. Georges dit :

    Bonjour,
    C’est donc l’injustice, le manque de reconnaissance. Sans ce « handicap » je pourrais avoir des relations plus ouvertes, plus faciles, plus généreuses avec les autres.

  35. Georges dit :

    Bonjour,
    Je me reconnais assez dans le dernier cas, celui de l’injustice, ayant eu l’impression de ne pas être aimé pour ce que j’étais mais pour ce que j’aurais dû être.
    Du coup je suis en recherche de reconnaissance de la part des autres, j’ai du mal à me situer dans mes relations avec les autres et j’ai du mal à ne pas être dans le jugement de moi-même ou des autres.

  36. audrey dit :

    oui bien sure je pense qu’il est possible de guérir . Si quelque chose en moi résiste à cette guérison c’est cette petite voix qui me dis « tu n’y arrivera pas car tu t’y prend mal ou tu ne sais pas faire »

  37. audrey dit :

    ma plus grande souffrance est ce manque de confiance en moi. Elle me fige m’empêche d’aller au bout des choses. Une fois ce problème dépassé je pourrais aller de l’avant et construire ma vie comme je la désire

  38. Danya dit :

    j’ai 64 ans je ne me suis pas reconnu dans les situations de la vidéo, mais j’ai toujours eu un problème pour gagner ma vie et ma retraite dans un an ne me permettra pas de vivre correctement. j’aimerais sortir de cette loyauté à la famille concernant l’argent. merci pour votre intervention, je vous suis dans les interviews de différents personnes particulièrement intéressantes.

    • gilberte dit :

      si je peux me permettre de vous répondre, j’ai 62 ans, je suis retraitée et si je devais me contenter de ma retraite, ce serait galère. alors je bosse. j’aime ce que je fais ( auxiliaire de vie) j’apporte les forces qui me restent contre rémunération. de plus en plus de retraités bossent. je crois qu’il faut changer ses croyances sur la retraite: repos bien mérité!!! Pour moi, c’est petit revenu de base assuré pour faire mieux. Bon courage

  39. audrey dit :

    bonjour Anna,

    j ai reconnu les blessure de rejet d’abandon et d’ injustice . Dans ma vie quotidienne cela se traduit par un besoin mais une peur de l’engagement affectif un manque de confiance en moi et une difficulté à passer à l’action . J’ai un projet professionnel qui me tiens à coeur mais je suis figée à cause de ce manque de confiance.

  40. brigitte dit :

    ça fait longtemps que je travaille sur les 5 blessures(et ds le questionnaire ,j’ai mis de +en+)

    et là,pour la 1ere fois je comprends un peu mieux la blessure de trahison, (que je ne vois pas du tout chez moi

  41. Dominique dit :

    1) guérir c’est accueillir cette part blessée c’est l’identifier au moment où la souffrance apparait, en même temps c’est toujours là car c’est constitutif, cela prend moins d’importance lorsque j’y met de la conscience, que c’est l’enfant qui souffre et l’adulte peut le prendre dans ces bras…
    Pas toujours évident, ce qui m’impressionne c’est le système de répétition dans lequel je me retrouve et en même temps cette solitude me pèse et pourtant je retrouve un espace une liberté même si je suis dans un flou professionnel personnel en situation d’insécurité financière et en même temps je chante je fais du sport, du théâtre je suis sortie de mon canapé ma grande peur c’est de ne jamais pouvoir être dans une autre forme de relation avec un homme

  42. Gisèle dit :

    je ne sais pas dans quelle émotion le placer, mais moi, j’ai été beaucoup rabaisser dans le passé . actuellement , je travaille sur mon intuition , et la petite voix me disait qu’il fallait que je travaille le pardon, car cela me bloquait pour avancer.

  43. Sylvie dit :

    Oui je pense qu’il est possible de guérir de ses blessures. Seulement, une partie de moi résiste, me freine. J’ai l’impression d’être jugée en permanence. J’ai reçu une éducation ou il fallait être comme les autres voulaient qu’on soit et pas comme on voulait être soi-même. Le « qu’en diras-ton » était permanent, le jugement, le paraître. Difficile d’être soi dans ces conditions. C’est encore aujourd’hui à plus de 50 ans toujours un énorme frein.

  44. Sylvie dit :

    Une de mes plus grandes souffrances émotionnelles est le manque de confiance en moi. Je ne vais jamais au bout des choses. Je suis frustrée et je culpabilise de ne pas avancer. Je m’en veux tout le temps. Jamais de joie, de plaisir, je ne profite de rien.
    Ma vie serait tellement plus heureuse sans ces souffrances et j’aurais l’impression de vivre ma vie et non de passer à côté.

  45. Pascale dit :

    oui il est possible de guérir mais il doit y avoir des rechutes après tant d’années avec elles et ces blessures doivent s’accrocher, ce ne doit pas être facile

  46. Pascale dit :

    l’injustice et la trahison je crois mais sans justification comme dans les exemples ….
    Un peu l’abandon
    peut on avoir plusieurs blessures mais pas très prononcées ?
    ma vie sera plus simple et plus sereine je pense

  47. Sylvie dit :

    Je me suis reconnue dans plusieurs
    situations.Le rejet, pas toujours bien dans ce que je fais ou avec qui je suis, L’humiliation ?, j’ai toujours eu des problèmes de poids.L’injustice, il y avait beaucoup de principes dans mon éducation,j’ai toujours beaucoup de difficultés à me détendre, à avoir du plaisir, je travaille beaucoup pour obtenir la perfection que je n’atteinds jamais et je suis toujours frustrée de ne pas réussir.
    Au quotidien, c’est un manque de confiance en soi de’estime de soi et pas de joies ne de plaisir.

  48. Jocelyne Patry Moro dit :

    Oui, c’est fascinant de constater que la blessure de rejet peut nous suivre toute la vie, si on ne s’en libère pas. Il y a quelques années, bien que je vivais chez moi dans ma maison, avec mon conjoint, qui vient d’une très grande famille, j’ai encore vécu cette expérience …… Avec le temps,je me suis sentie envahie par la présence des siens qui venaient nous rendre visite souvent, pour plusieurs jours, si bien qu’on occupait ma place, mon bureau, mon espace . J’avais de la difficulté à me retrouver et ….. je ne me sentais plus chez moi, dans ma propre demeure. S’en est suivi une séparation…….et un cancer

  49. laure dit :

    Oui je pense qu’il est possible de guérir ses blessures.

    Je souhaite guérir et je ne sais pas s’il y a quelque chose en moi qui résiste pour cette guérison et de quoi il s’agit exactement si c’est le cas.

  50. laure dit :

    Ma plus grande souffrance est d’avoir vu et de voir ma mère sur-vivre au lieu de vivre, malheureuse, soupçonneuse et médisante sur tout dans la vie. Ca me fait souffrir de la voir se trainer comme un fantome, comme quelqu un d’aveugle sur l’amour et le positif.

  51. Frederique dit :

    Bonsoir Ana,

    Je pense que ma blessure est la trahison mais ce n’est pas facile de faire un lien avec tous mes handicaps. J’ai beaucoup de peur. Je suis assez méfiante. Je prends les choses de facon personnelle.
    Frederique

  52. laure dit :

    sentiment de pas avoir été désirée – de ne pas oser prendre ma place/ de ne pas oser affirmer, exprimer et vivre qui je suis.

  53. Véronique dit :

    Bonsoir Ana, oui, je pense qu’il est possible de guérir de ses blessures, mais aujourd’hui, je ne crois pas que ce soit possible pour toutes tant elles sont ancrées profondément et depuis des générations. Je veux bien croire qu’une partie de moi résiste, j’ai tellement grandi dans l’abandon, l’irrespect et la peur que j’ai toujours dit que tout cela coulait dans mes veines depuis ma naissance, que cela faisait complètement partie de moi. J’ai peut être simplement peur de me débarrasser pleinement de mes douleurs, inconsciemment en m’y accrochant. Du coup, je ne suis pas LIBRE et les femmes de ma lignée n’avaient pas le droit à la liberté, simplement à la soumission… Comment quitter tout cela pour devenir sereine et enfin MOI ?
    Merci

  54. Annabel Guiard dit :

    Rejet et humiliation. Oui, manque de confiance, autoestime, sensation de ne pas être aimé, problèmes d’ argent, peurs, envie de mourir parfois (alors que dans le fond je ne veux pas mourir), tristesse, rage. Je suis moi même thérapeute mais je ne me sens pas complêtement libérée de mes blessures.

  55. Véronique dit :

    Bonsoir Ana, je crois que ma plus grosse souffrance émotionnelle est l’ABANDON.
    Sans cela, je serai moins dans l’attente douloureuse, je serai plus concentrée sur mes propres besoins, mes envies, mes plaisirs, je me respecterai plus, je serai moins triste, j’aurai plus d’énergie, ma Vie serait plus douce, juste et vraie.
    Merci à vous.

  56. Véronique dit :

    Bonsoir Ana et merci à vous pour ce que vous faites. Je me suis retrouvée dans votre vidéo avec le cumul de situations. Aujourd’hui, après des années de travail sur moi, je sais que j’ai encore des douleurs profondes. Les conséquences d’un divorce dramatique me font encore penser à l’abandon, le rejet, l’irrespect, la peur, l’injustice. Ceci fait de moi quelqu’un qui n’avance pas avec son plein potentiel, je suis plutôt solitaire à vouloir me libérer de mes croyances limitantes et à chasser les gens toxiques de ma vie. Il y a de belles personnes comme vous qui tendent la main à ceux qui en ont besoin. MERCI. Belle continuation à vous.

  57. Paule dit :

    oui je pense qu’il est possible de guérir.
    je ne sais pas si c’est un résistance à la guérison ou une peur d’aller vers l’inconnu ?

  58. maria dit :

    Bonjour je me suis reconnu , je suis la cinqueme anfant de 8 ma mere ma donne a d’autres personne pour m’enlever a l’age de 5 ans , blessures? Je n’ai trops pour les compter. Cordialment Maria

  59. nathalie dit :

    Ma plus grande souffrance émotionnelle est dû à plusieurs trahisons amoureuse de mon premier amour .Cette relation a duré 7 ans ,je l’ai quitté, puis j’ai rencontré mon mari.
    23 ans après, j’éprouve toujours de la colère et un manque de confiance en moi et les autres.

  60. Paule dit :

    ma plus grande souffrance et je crois de ne pas m’accepter.
    Ma vie serai légère et plus tranquille.

  61. Paule dit :

    Je me suis reconnu dans la blessure de rejet.
    Je ne me sens pas à l’aise dans mon travail. Je me retrouve en situation de victime de harcèlement à plusieurs reprises.
    la deuxième blessure que j’ai reconnu c’est la blessure d’humiliation (je crois). Je le ressens comme cela. Je suis particulièrement sensible aux jugement des autres et je ne me sens pas à ma place sauf quand je connais bien les gens.

  62. Jocelyne dit :

    oui c’est possible de guérir. Et non je ne résiste pas à l’envie de guérir, elle est plus que tout importante à ce jour pour pouvoir avancer dans la vie

  63. Jocelyne dit :

    ma plus grande souffrance est de ne pas trouver ma place et de me sentir rejetée. Sans cette souffrance j’aurai de meilleures relations avec les autres et je retrouverai de la joie

  64. Jocelyne dit :

    Oui je me suis reconnue. Au quotidien problèmes relationnels, gros manques affectifs, sentiment de pas être à ma place, d’être bien nul part…

  65. Chalas dit :

    C’est possible de guérir et de s’en sortir. Je n’ai pas l’impression d’être sous l’emprise aveugle des blessures infantiles.
    « connais toi toi-même » disait Aristote

  66. je crois en la guérison , la seule résistance c’est mon mental ou ego

  67. Chalas dit :

    Ma souffrance somato- émotionnelle se traduit par des douleurs nerveuses (cruralgie côté droit ) . Ca ne m’empêche pas de marcher. j’évite seulement de me lancer dans des grandes excursions

  68. Béosière dit :

    si estoy convencida que es posible curar (1)
    tal vez sea inseguridad (2)

  69. CANDEL isabelle dit :

    Ma plus grande souffrance est l’humiliation. Me respecter me permettrait de plus m’aimer .

  70. CANDEL isabelle dit :

    Je me suis reconnu dans ces 5 blessures.Divorcée depuis 3 ans , j’ai du mal à me reconstruire.

  71. Béosière dit :

    el abandono(1)

    seria mas afirmada ! (2)

  72. Béosière dit :

    Si reconoci las cinco

  73. Nancy dit :

    Oui ça pour m’être reconnu oui !Ca m’handicape à tout les niveaux travail, relationnel et et amour, l’aspect financier, réussite professionnelle…

  74. Chalas dit :

    Reconnaissance avec les 5 blessures. vécues réellement dans le passé. Mais cela ne me pose plus de questions, pas de problème, ni handicape, comme si j’étais « cool » depuis ma naissance.

  75. tanezie dit :

    1) je suis certaine qu’il est possible de guerir travaillant en développement personnel dans plusieurs approches thérapeutiques cela reste long et au qutidien

    2) ce développement personnel a été interrompu depuis 1an 1/2,maintenant suite à l’abandon de mon mari , relation merveilleuse pendant 17 ans dont j’ai un grand mal à faire le deuil

  76. Bruno dit :

    Bonsoir Ana.

    Je me suis en effet reconnu dans la blessure d’abandon, la trahison et aussi l’injustice à des degrés variés souvent violents et démesurés par rapport à la situation. Le domaine dans lequel ces blessures se réveillent depuis très longtemps, c’est dans la relation de couple. Notamment la dernière qui a duré 5 ans avec 2 séparations et 3 reprises et là nous nous séparons de nouveaux. Elle en peut plus et je peux la comprendre. Cette personne est très douce et très forte intérieurement. Malgré tout l’amour qu’elle me donne et la confiance qu’elle a en moi, je suis toujours insatisfait et quelque chose en moi rumine sans cesse, se méfie et sabote chaque moment ou on pourrait être dans la paix et la douceur. Beaucoup de reproche aussi parce qu’elle ne souhaite pas prendre un travail depuis 5 ans. Je me mets dans des rages incroyables voir Haine et rejet en me rendant compte toujours trop tard que j’aimerais en fait pouvoir être comme elle en confiance dans la vie, calme, serein et que j’ai le droit de prendre du temps pour savoir ce que je voudrais vraiment faire. Bref j’aurais beaucoup à dire. Peut être que lors du webinar nous aborderons ces sujets en tout cas merci pour ce que vous faites. Bruno

  77. tanezie dit :

    1° que l’autre ne me respecte pas mais je pense que je n’exprime pas vraiment mes besoins

    2° la non reconnaissance de mon travail et de tous les efforts que je fais

  78. tanezie dit :

    humiliation
    injustice

    quotidien le handicap je cherche constamment la perfection peut être un peu moins depuis que je travaille en développement personnel
    je commence à apprendre à me respecter mais très difficile pour moi encore

  79. Adeline dit :

    Je me suis retrouver dans plusieurs blessures.
    Je dirais que j’ai peur de faire les mauvais choix du coup je prends pas de décision, j’ai aussi un problème de surpoids comme une barrière de protection, du coups je manque de confiance en moi et j’ai de plus en plus tendance à m’isoler.

  80. HUGUEL nadine dit :

    heureusement qu’il existe des solutions pour guérir et alléger les souffrances
    non je ne pense pas je suis ouverte aux thérapies softs mais efficaces qui sont très libératrices

  81. Florence dit :

    Bonjour, je ressens plusieurs blessures dues au passé, je travaille déjà beaucoup sur moi-même mais je pense qu’elles sont toujours présentes, le rejet, l’abandon, et je pense aussi l’humiliation. Est-ce possible?

  82. HUGUEL nadine dit :

    c’est d’avoir entendu mon père souvent dire que j’étais une pauvre cloche.
    je pense que la vie aurait été meilleure et plus douce.

  83. HUGUEL nadine dit :

    je n’étais pas 1 enfant désirée mais avec un travail en kinésiologie et en décryptage biologique cela s’estompe mais bcp de souffrances par le passé

  84. Barbara dit :

    Bonjour Anna

    Je dirais ne pas m’être reconnue dans ces situations mais ressentir que certains mots me touchaient au coeur comme humiliation, injustice et les autres aussi, c’est comme une immense toile dans laquelle je me sens prisonnière. J’y travaille avec l’aide de mon enfant intérieure avec une femme extraordinaire et là peut être que son travail commençant à porter ses fruits je me sens peut être encore plus mal et la vie me met à l’épreuve. Mais je suis une grande très grande optimiste alors j’y crois.

    Merci Anna !

    Je suis une personne très directive, qui contrôle tout qui ne s’abandonne pas ou peu.

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